Un mort lors d’un raid de la police française à Strasbourg dans l’est de la France, dans le cadre de l’enquête sur l’attaque à la grenade en septembre contre un commerce juif de Sarcelles dans le Val-d'Oise, près de Paris.
Les analyses de l’ADN retrouvé sur la grenade ont permis à la police d’identifier un suspect. Ce dernier a été tué à Strasbourg après avoir ouvert le feu sur des policiers venus l'interpeller, dont plusieurs ont été blessés, précisent les autorités françaises.
Une dizaine de personnes ont été arrêtées samedi à travers la France dans le cadre de l’opération. La police soupçonnait que l'attentat de Sarcelles, qui avait fait un blessé, était le fait d’extrémistes musulmans. Il était intervenu dans un contexte de tensions et avait suscité de vives réactions au sein de la communauté juive, intervenant après une série d’attaques antisémitiques ces derniers mois en France.
Les analyses de l’ADN retrouvé sur la grenade ont permis à la police d’identifier un suspect. Ce dernier a été tué à Strasbourg après avoir ouvert le feu sur des policiers venus l'interpeller, dont plusieurs ont été blessés, précisent les autorités françaises.
Une dizaine de personnes ont été arrêtées samedi à travers la France dans le cadre de l’opération. La police soupçonnait que l'attentat de Sarcelles, qui avait fait un blessé, était le fait d’extrémistes musulmans. Il était intervenu dans un contexte de tensions et avait suscité de vives réactions au sein de la communauté juive, intervenant après une série d’attaques antisémitiques ces derniers mois en France.