Est-ce une nouvelle étape importante dans la gestion de la crise dans le Nord du Mali ?
Le MNLA et Ansar Dine se disent prêts à un "dialogue politique" avec le pouvoir malien.
C’est ce que les délégations des deux groupes ont déclaré vendredi à Ouagadougou à l’issue d’un entretien avec le président burkinabè Blaise Compaoré, le médiateur de la Cédéao.
M. Compaoré a par ailleurs annoncé aux deux délégations qu'il comptait établir un calendrier de consultations et de pourparlers de paix.
"Le dialogue ne remplace pas l'intervention militaire", qui devra "mettre hors d'état de nuire les groupes terroristes", a souligné le ministre burkinabè des Affaires étrangères Djibril Bassolé.
Puissance régionale incontournable, l'Algérie a estimé qu'"il faut cibler exclusivement les terroristes et les narcotrafiquants".
Validé par l'UA, le plan stratégique d'intervention dans le nord du Mali prévoit une force internationale de 3 300 soldats essentiellement ouest-africains, qui aura besoin d'un soutien logistique occidental. Il doit être transmis au Conseil de sécurité de l'ONU avant la fin novembre.
Le MNLA et Ansar Dine se disent prêts à un "dialogue politique" avec le pouvoir malien.
C’est ce que les délégations des deux groupes ont déclaré vendredi à Ouagadougou à l’issue d’un entretien avec le président burkinabè Blaise Compaoré, le médiateur de la Cédéao.
M. Compaoré a par ailleurs annoncé aux deux délégations qu'il comptait établir un calendrier de consultations et de pourparlers de paix.
"Le dialogue ne remplace pas l'intervention militaire", qui devra "mettre hors d'état de nuire les groupes terroristes", a souligné le ministre burkinabè des Affaires étrangères Djibril Bassolé.
Puissance régionale incontournable, l'Algérie a estimé qu'"il faut cibler exclusivement les terroristes et les narcotrafiquants".
Validé par l'UA, le plan stratégique d'intervention dans le nord du Mali prévoit une force internationale de 3 300 soldats essentiellement ouest-africains, qui aura besoin d'un soutien logistique occidental. Il doit être transmis au Conseil de sécurité de l'ONU avant la fin novembre.