Les quatre hommes, arrêtés mi-décembre, sont sortis du tribunal sous les acclamations de leurs partisans.
Le ministre sud-soudanais de la Justice, Paulino Wanawilla, avait, demandé jeudi la fin de la procédure, pour "promouvoir le dialogue, la réconciliation entre Sud-Soudanais".
Les accusés n’étaient autre que l'ex-secrétaire général du SPLM, le parti au pouvoir, l'ex-ministre de la Sécurité nationale, l'ex-ambassadeur à Washington et l'ancien vice-ministre de la Défense.
Les poursuites sont en revanche maintenues contre M. Machar et deux de ses proches, toujours en cavale.
Mercredi, le Conseil de sécurité de l'ONU a brandi la menace de sanctions contre les responsables d'exactions et la Haut-Commissaire aux droits de l'homme Navi Pillay se rendra lundi au Soudan du Sud pour enquêter sur les massacres à Bor et à Bentiu.
Le ministre sud-soudanais de la Justice, Paulino Wanawilla, avait, demandé jeudi la fin de la procédure, pour "promouvoir le dialogue, la réconciliation entre Sud-Soudanais".
Les accusés n’étaient autre que l'ex-secrétaire général du SPLM, le parti au pouvoir, l'ex-ministre de la Sécurité nationale, l'ex-ambassadeur à Washington et l'ancien vice-ministre de la Défense.
Les poursuites sont en revanche maintenues contre M. Machar et deux de ses proches, toujours en cavale.
Mercredi, le Conseil de sécurité de l'ONU a brandi la menace de sanctions contre les responsables d'exactions et la Haut-Commissaire aux droits de l'homme Navi Pillay se rendra lundi au Soudan du Sud pour enquêter sur les massacres à Bor et à Bentiu.