La Loya Jirga, l'assemblée traditionnelle de l'Afghanistan, a pris la décision historique d’approuver dans l'ensemble l’accord de sécurité bilatéral avec les États- Unis. Mais il n'est pas encore clair quand l'accord sera signé.
Le président afghan, Hamid Karzaï, a accepté la décision des 2.500 chefs tribaux et dirigeants communautaires. Mais dans un discours de 45 minutes dimanche, il a maintenu sa décision de ne pas signer l'accord immédiatement, disant qu'il voulait d'abord voir la paix et la sécurité rétablies dans le pays, ainsi que la tenue des élections présidentielles libres et équitables en 2014.
« La paix est notre condition avec l'Amérique. L'Amérique devrait nous apporter la paix. Je sais que s’ils se tiennent à nos côtés honnêtement, ce sera le cas », a-t-il dit.
La décision du dirigeant afghan est contraire à l'appel lancé par le chef de la Loya Jirga , l'ancien président Sibghatullah Mojaddedi, qui avait appelé M. Karzaï à signer le pacte avant la fin de l'année.
Washington a également insisté sur le fait que l'accord devrait être signé avant 2014. Cette surenchère politique entre M. Karzaï et Washington témoigne de leurs relations difficiles durant les huit années de sa présidence.
Le président afghan, Hamid Karzaï, a accepté la décision des 2.500 chefs tribaux et dirigeants communautaires. Mais dans un discours de 45 minutes dimanche, il a maintenu sa décision de ne pas signer l'accord immédiatement, disant qu'il voulait d'abord voir la paix et la sécurité rétablies dans le pays, ainsi que la tenue des élections présidentielles libres et équitables en 2014.
« La paix est notre condition avec l'Amérique. L'Amérique devrait nous apporter la paix. Je sais que s’ils se tiennent à nos côtés honnêtement, ce sera le cas », a-t-il dit.
La décision du dirigeant afghan est contraire à l'appel lancé par le chef de la Loya Jirga , l'ancien président Sibghatullah Mojaddedi, qui avait appelé M. Karzaï à signer le pacte avant la fin de l'année.
Washington a également insisté sur le fait que l'accord devrait être signé avant 2014. Cette surenchère politique entre M. Karzaï et Washington témoigne de leurs relations difficiles durant les huit années de sa présidence.