Après d'âpres négociations dans la nuit de mercredi à jeudi, quatre religieux centrafricains ont été libérés. Escortes par la Misca, ils sont en route vers Bossangoa.
De Bangui, l'archevêque Dieudonne Nzapalainga a pu brièvement s'entretenir avec l'évêque de Bossangoa qui est en bonne santé.
Mgr Nzapalainga explique que Nestor Nongo Aziagbia était "parti pour installer trois prêtres dans leurs paroisses. Il a d'abord traverse sans encombre Bouca, ville tenue par les anti-balaka." Arrives à Batangafo, les quatre hommes ont dû stopper leur véhicule sous la menace d'éléments de l'ex-Seleka. L'ancienne alliance est aujourd'hui une nébuleuse et il bien difficile de dire qui dirige chaque groupe.
"Apres avoir été contraints de les suivre jusqu'à un camp militaire, les religieux ont dû reprendre la route avec leurs ravisseurs jusqu'à Kabo. Sur place, ils ont dû attendre l'arrivée d'un général nommé, Al-Kasim, venu de la frontière tchadienne", précise Mgr Nzapalainga.
A la suite de négociations entre ses hommes armés, la Misca et la Sangaris, les quatre religieux ont pu repartir libres à 11h30 ce jeudi.
"Je condamne cet incident et nous sommes inquiets. On ne doit pas s'en prendre aux religieux. Nous accueillons tout le monde. Nous avons ouvert nos portes aux Chrétiens, aux Musulmans, à tout le monde", se désole Dieudonne Nzapalainga.
De Bangui, l'archevêque Dieudonne Nzapalainga a pu brièvement s'entretenir avec l'évêque de Bossangoa qui est en bonne santé.
Mgr Nzapalainga explique que Nestor Nongo Aziagbia était "parti pour installer trois prêtres dans leurs paroisses. Il a d'abord traverse sans encombre Bouca, ville tenue par les anti-balaka." Arrives à Batangafo, les quatre hommes ont dû stopper leur véhicule sous la menace d'éléments de l'ex-Seleka. L'ancienne alliance est aujourd'hui une nébuleuse et il bien difficile de dire qui dirige chaque groupe.
"Apres avoir été contraints de les suivre jusqu'à un camp militaire, les religieux ont dû reprendre la route avec leurs ravisseurs jusqu'à Kabo. Sur place, ils ont dû attendre l'arrivée d'un général nommé, Al-Kasim, venu de la frontière tchadienne", précise Mgr Nzapalainga.
A la suite de négociations entre ses hommes armés, la Misca et la Sangaris, les quatre religieux ont pu repartir libres à 11h30 ce jeudi.
"Je condamne cet incident et nous sommes inquiets. On ne doit pas s'en prendre aux religieux. Nous accueillons tout le monde. Nous avons ouvert nos portes aux Chrétiens, aux Musulmans, à tout le monde", se désole Dieudonne Nzapalainga.