L'ambassadeur ukrainien auprès de l'ONU à Genève, Yurii Klymenko, s'est montré optimiste à quelques heures des pourparlers de Genève.
Des négociations cruciales sont prévues ce jeudi à Genève pour tenter d’éviter que l’Ukraine ne sombre dans la guerre civile. Elles rassembleront les ministres des Affaires étrangères des Etats-Unis, de l’Union européenne (UE), de la Russie et de l’Ukraine.
A la veille de la rencontre, Yurii Klymenko a reconnu qu’il ne sera pas facile de rétablir l’ordre dans son pays, ou de forcer la Russie à renoncer à ses ambitions territoriales. Néanmoins, ces discussions pourraient identifier la voie vers une solution pacifique, a-t-il dit.
Pour Kiev, la négociation demeure la seule option, a-t-il poursuivi. Mais si Moscou reste agressif, l’Ukraine fera tout pour se défendre, a souligné l’ambassadeur Klymenko.
« En cas d’agression, d’agression flagrante contre l’Ukraine, contre l’est et le sud du pays, l’Ukraine fera usage de son droit d’autodéfense. Je vous le dit en tant que diplomate », a assuré M. Klymenko.
Certes les participants aux pourparlers de Genève espèrent qu’ils permettront une percée. Mais dans le cas contraire, l’Occident est prêt à imposer de nouvelles sanctions à la Russie. Le secrétaire d'Etat américain John Kerry en a discuté avec ses homologues français, allemand et britannique, ainsi qu'avec la chef de la diplomatie de l'Union européenne (UE), Catherine Ashton. Ils seraient prêts.
Des négociations cruciales sont prévues ce jeudi à Genève pour tenter d’éviter que l’Ukraine ne sombre dans la guerre civile. Elles rassembleront les ministres des Affaires étrangères des Etats-Unis, de l’Union européenne (UE), de la Russie et de l’Ukraine.
A la veille de la rencontre, Yurii Klymenko a reconnu qu’il ne sera pas facile de rétablir l’ordre dans son pays, ou de forcer la Russie à renoncer à ses ambitions territoriales. Néanmoins, ces discussions pourraient identifier la voie vers une solution pacifique, a-t-il dit.
Pour Kiev, la négociation demeure la seule option, a-t-il poursuivi. Mais si Moscou reste agressif, l’Ukraine fera tout pour se défendre, a souligné l’ambassadeur Klymenko.
« En cas d’agression, d’agression flagrante contre l’Ukraine, contre l’est et le sud du pays, l’Ukraine fera usage de son droit d’autodéfense. Je vous le dit en tant que diplomate », a assuré M. Klymenko.
Certes les participants aux pourparlers de Genève espèrent qu’ils permettront une percée. Mais dans le cas contraire, l’Occident est prêt à imposer de nouvelles sanctions à la Russie. Le secrétaire d'Etat américain John Kerry en a discuté avec ses homologues français, allemand et britannique, ainsi qu'avec la chef de la diplomatie de l'Union européenne (UE), Catherine Ashton. Ils seraient prêts.