Recherche sur le SIDA en Afrique: le cas du Sénégal
Recherche sur le SIDA en Afrique: le cas du Sénégal
Le chercheur Ouseynou Ndiaye explique les promesses et limites observées dans ce domaine
Les participants à la 19e Conférence internationale de lutte contre le SIDA, qui se tient dans la capitale fédérale des États-Unis (Washington, DC) du 22 au 27 juillet 2012, ont entendu jusqu’à présent des discours très encourageants, notamment en ce qui concerne l’appui des pays donateurs à la lutte contre la pandémie. Un domaine important, c’est la recherche sur le VIH/SIDA.
Comment se présente la situation sur le continent africain ? Des efforts assez louables ont été entrepris et l’Afrique devrait être dotée bientôt de son premier centre de recherche continental qui sera logé à Tamanrasset, à l’extrême sud de l’Algérie, d’ici fin 2013. La presse internationale a rapporté, il y a quelques mois, la signature d’un accord entre l'Onusida et l’État algérien pour la création de cet institut.
Pour parler de l’état de la recherche sur le VIH/SIDA, particulièrement au Sénégal—un pays qui a enregistré des progrès considérables dans la lutte contre le SIDA durant ces 20 dernières années—Nicolas Pinault a rencontré le chercheur Ouseynou Ndiaye.
En dépit des difficultés auxquelles sont confrontés les chercheurs du VIH/SIDA dans les pays du sud, fait remarquer l’expert sénégalais, « on peut dire que les choses avancent ». « Il y a quelques années, on voyait le SIDA comme une création du Nord, mais maintenant les gens (en Afrique) sont beaucoup plus conscients, » a-t-il ajouté.
Ecoutez l’intégralité de cet entretien avec Nicolas Pinault
Les participants à la 19e Conférence internationale de lutte contre le SIDA, qui se tient dans la capitale fédérale des États-Unis (Washington, DC) du 22 au 27 juillet 2012, ont entendu jusqu’à présent des discours très encourageants, notamment en ce qui concerne l’appui des pays donateurs à la lutte contre la pandémie. Un domaine important, c’est la recherche sur le VIH/SIDA.
Comment se présente la situation sur le continent africain ? Des efforts assez louables ont été entrepris et l’Afrique devrait être dotée bientôt de son premier centre de recherche continental qui sera logé à Tamanrasset, à l’extrême sud de l’Algérie, d’ici fin 2013. La presse internationale a rapporté, il y a quelques mois, la signature d’un accord entre l'Onusida et l’État algérien pour la création de cet institut.
Pour parler de l’état de la recherche sur le VIH/SIDA, particulièrement au Sénégal—un pays qui a enregistré des progrès considérables dans la lutte contre le SIDA durant ces 20 dernières années—Nicolas
Les participants à la 19e Conférence internationale de lutte contre le SIDA, qui se tient dans la capitale fédérale des États-Unis (Washington, DC) du 22 au 27 juillet 2012, ont entendu jusqu’à présent des discours très encourageants, notamment en ce qui concerne l’appui des pays donateurs à la lutte contre la pandémie. Un domaine important, c’est la recherche sur le VIH/SIDA.
Comment se présente la situation sur le continent africain ? Des efforts assez louables ont été entrepris et l’Afrique devrait être dotée bientôt de son premier centre de recherche continental qui sera logé à Tamanrasset, à l’extrême sud de l’Algérie, d’ici fin 2013. La presse internationale a rapporté, il y a quelques mois, la signature d’un accord entre l'Onusida et l’État algérien pour la création de cet institut.
Pour parler de l’état de la recherche sur le VIH/SIDA, particulièrement au Sénégal—un pays qui a enregistré des progrès considérables dans la lutte contre le SIDA durant ces 20 dernières années—Nicolas Pinault a rencontré le chercheur Ouseynou Ndiaye.
En dépit des difficultés auxquelles sont confrontés les chercheurs du VIH/SIDA dans les pays du sud, fait remarquer l’expert sénégalais, « on peut dire que les choses avancent ». « Il y a quelques années, on voyait le SIDA comme une création du Nord, mais maintenant les gens (en Afrique) sont beaucoup plus conscients, » a-t-il ajouté.
Ecoutez l’intégralité de cet entretien :
Pinault a rencontré le chercheur Ouseynou Ndiaye.
En dépit des difficultés auxquelles sont confrontés les chercheurs du VIH/SIDA dans les pays du sud, fait remarquer l’expert sénégalais, « on peut dire que les choses avancent ». « Il y a quelques années, on voyait le SIDA comme une création du Nord, mais maintenant les gens (en Afrique) sont beaucoup plus conscients, » a-t-il ajouté.