Dans un communiqué publié mercredi, le CICR a rappelé à toutes les parties au conflit que le droit international humanitaire interdit les atteintes à l'intégrité de la personne et à la dignité humaine, y compris les actes de violence sexuelle commis à l'encontre de toute personne. Les parties au conflit ont l'obligation de prévenir et d'empêcher que de tels actes se produisent, indique le CICR.
L'organisation humanitaire a renforcé son appui à la maison d'écoute de la Croix-Rouge de la RDC, à Minova, qui accueille des victimes de violences, notamment sexuelles, leur offre un soutien psychosocial et les oriente vers le centre de santé afin qu'elles reçoivent, si besoin est, des soins médicaux consécutifs au viol qu'elles ont subi.
Une représentante de l'organisation internationale a répondu qux questions de la VOA concernant la situation actuelle dans l'Est du Congo et les difficultés rencontrées dans l'assistance aux blessés et aux personnes déplacées.